Projets financés en 2020

AUNOHR : « De la non-violence en arabe » (3 000 €)

Projet de traduction de textes de Jean-Marie Muller, d’extraits du livre Sans armes face à Hitler de Jacques Sémelin, et de sous-titrage de films sur la non-violence + invitation d’un formateur en médiation et en action non-violente au Liban pour une session de 5 jours.


AFC-Umani : « Programme de formation portant sur la gestion non-violente des conflits au sein des établissements scolaires » (3 000 €)

Formations sur la prévention des violences scolaires et la régulation non-violente des conflits à destination des personnels éducatifs et enseignants, des parents et des élèves d’établissements du 1er et du 2nd degré.

  • Budget global : 82 800 €
  • Responsable : Jean-François Bernardini
  • Site internet : http://afcumani.org 

La Maison des Amis : « Construire la non-violence dans les écoles, les familles et les communautés au Togo » (2000 €)

La Maison des Amis travaille depuis dix ans à Atakpamé (région des plateaux) au Togo. L’association souhaite mettre en place une campagne de sensibilisation à la non- violence dans les milieux scolaires, notamment les lycées, et au sein de la communauté d’Atakpamé et des environs.


MAN-Lyon : « Médiation nomade en terrain sensible » (1 445 €)

La médiation nomade consiste à ouvrir un espace de discussion convivial en soirée au cœur de la cité afin d’accueillir des publics parfois en errance. Un lieu d’animation et de parole, un lieu pour se poser, boire un verre, écouter de la musique. En bref, un lieu pour être ensemble et partager. C’est aussi un espace « éphémère » et facile d’accès ; on y vient sans obligation, sans engagement, juste discuter et boire une boisson chaude ou froide dans un climat de confiance.


IRNC – Célia Grincourt : « Podcast La force de la non-violence » (2 500 €)

Il s’agit de créer un podcast bi-mensuel sur le sujet de la non-violence. Format: interview de 30 à 45 minutes. L’idée est d’interroger des acteurs et actrices engagés dans la non-violence sur ce qui les a amenés à emprunter ce chemin. Quel a été le point de bascule dans leur parcours qui a rendu la non-violence nécessaire, incontournable, indispensable à leur vie ou à leur combat? Comment se sont-ils résolus à renoncer à tout type de violence et quels ont été les fruits de cette résolution? L’objectif est de montrer l’urgence vitale pour l’humanité de se tourner vers la non-violence.